Les racines du mâle, 2014

Broderie sur tissus et bois, 170x162x200cm

Le paravent derrière lequel on se dénude, et on s’habille, reprend l’idée de couches successives, de l’effeuillage. Différentes peaux, différents rôles que l’on a accordés aux femmes depuis toujours, et qui malgré l’évolution des idées restent très présents dans l’inconscient collectif. La sorcière, la fautive, la renarde, la tentatrice, la servante, la génitrice…autant d’images qui lui ont été imposés. Même si l’idée du « beau sexe » est agréable, l’histoire revient souvent à la charge sur des notions qui se sont répandues comme de la mauvaise herbe.